Une introduction au modèle ISLM



Jusqu’au la fin des années trente, le modèle de l’équilibre générale Walrasien était le modèle de référence dans l’analyse économique. À travers ce modèle, on a pu modéliser « l’économie politiques » et la donner des fondements microéconomiques et mathématiques avec certaines hypothèses, pour enfin, la donner le statut de science qui a des qualités de prévisions.
Ainsi ce modèle qui croyait à l’optimalité des comportements en se basant sur l’hypothèse de rationalité, l’auto-régularité des marchés, et la neutralité de la monnaie, a montré plusieurs faiblesses empiriques dû à sa nature hypothético-déductive. Ces hypothèses et postulats ont réduits l’analyse économique dans l’étude de la valeur et de la répartition, or le chômage, l’inflation et les crises était des sujets négligés ou même indiscutable du point de vue théorique, car le système classique (et/ou néoclassique) croyait, comme on a signalé, à l’optimalité des comportements microéconomique et par agrégation le comportement macroéconomique est optimal à son tour.
Or la crise de 1929 vient pour monter une réalité totalement différente entre les postulats énoncés par les classiques et néoclassiques, et la crise de surproduction qui a survenue, et qui a mis le système et la théorie économique en crise profonde. [...]

Extrait adapté de : Le modèle IS-LM et explication des fluctuations à court terme.
Par : EL FAIZ Zakaria



Une science n'était vraiment développée que quand elle pouvait utiliser les mathématiques.
Paul Lafargue et Wilhem Liebnknecht


Some Beautiful Words
Zakaria El Faiz

« Intellectuals who keep silent about what they know, who ignore the crimes that matter by moral standards, are even more culpable when their society is free and open. They can speak freely, but choose not to. » Stanley Cohen, States of Denial: Knowing about Atrocities and Suffering of Others

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